À quoi sert l’écriture inclusive ?
De bonnes et de moins bonnes manières de concevoir l’utilité du langage inclusif.
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De bonnes et de moins bonnes manières de concevoir l’utilité du langage inclusif.
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Deux foyers distincts et complémentaires de l’innovation. Que l’un intimide l’autre, ou que l’autre étouffe l’un – ce qu’ils sont si souvent tentés de faire –, et c’est toute la créativité sociale qui s’enraye. C’est de ce constat, et du désir d’en finir avec cette mutuelle ignorance, que sont nés mes ateliers d’écriture.
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Classiquement, on milite pour ou contre, on promeut ou on se défend. En ateliers je souhaite encourager l’exploration créative plutôt qu’inviter à prendre position – ce qui nous emmènerait sur le terrain du débat argumentatif, voire de la polémique.
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On peut se demander pourquoi, alors que je propose un atelier d’écriture inclusive, les textes de ce site web ne sont pas intégralement rédigés en écriture inclusive. Je donnerai au moins deux raisons.
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Si vous pratiquez l’écriture inclusive et que vous usez couramment du double marquage du genre (ex : étonnant·es), vous trouvez peut-être fastidieux l’emploi du point médian, qui nécessite le recours à une combinaison de touches en Alt +. Il est pourtant techniquement possible de l’obtenir directement.
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« Je vous la souhaite ronde et forte avec ses deux zéro, deux zéro
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