Mon premier atelier d’écriture était consacré à l’écriture inclusive, qui refuse la préséance du genre masculin dans la langue française. Les premières séances ont eu lieu au printemps 2018 dans plusieurs bibliothèques des Pyrénées. Parce que les enthousiasmes ou les crispations que suscite cette écriture sont toujours d’actualité, je continue à le proposer. C’est encore aujourd’hui celui qui obtient le plus de succès. Une présentation plus complète est à découvrir ici.
Si vous vous étonnez que cette page ne soit pas intégralement rédigée en écriture inclusive alors même que je propose un atelier, vous en trouverez l’explication dans ce billet.
Je propose depuis un nouvel atelier, Animaux à dire tout haut, qui porte sur la relation que l’on entretient avec les animaux élevés pour leur chair, leur lait, leurs œufs ou encore leur laine.
D’autres thèmes rejoignent peu à peu les premiers… On peut également m’en proposer. D’une manière générale, la diversité des formes de cohabitation entre sauvage et cultivé, les accords et tensions entre individu et communauté, les inquiétudes et fascinations suscitées par les ambitions transhumanistes – amélioration génétique ou augmentation numérique de l’humain, lutte contre les phénomènes de vieillissement et de mort… –, mais aussi les ambivalences du regard, ou celles de notre rapport à la monstruosité, sont des thèmes susceptibles de me motiver.